mardi 19 juin 2012

JEAN -LOUIS GUIMBERTEAU INTERDIT D'HERITAGE PAR SPOLIATION ORGANISEE!

L'Histoire de la vie de Jean-Louis Guimberteau n'est malheureusement pas des plus banales ! 

Victime à 4 ans du divorce de ses parents , il se voit infligé  le placement en  famille d'accueil .
 

 Sa mère l'a repris avec elle à l'âge de 7 ans, en l'éloignant  et le privant de son père , ce qui s'appelle  "l'aliénation parentale ".

Le déracinement, inéluctablement,  Jean -Louis l'a vécu .


Victime du divorce , comme il s'appelle  lui même, après avoir subit non seulement l'éloignement de sa famille paternelle , il a  violemment subit la privation d'héritage du bien paternel  à la mort de son père , ce qui s'appelle la double peine !
Vente maison 1990
Au prix de 150 000 francs ( 22 900€) 


La mère de l'acquéreur est également usufruitière du bien vendu.


Les biens de son père qui lui revenaient de droit, sont devenus la propriété, de la fille de la compagne de son père ,sous couvert d'une rente viagère , avec visiblement  des modalités  non respectées et pour le moins floues, le déshéritant totalement , ce qui est une abberation et une injustice  totale .


Après avoir fait plusieurs grèves de la faim  dont une de 62 jours en mettant sa vie en danger, Jean-Louis Guimberteau 
a aussi avec beaucoup de courage engagé des actions   comme deux parcours  en brouette:

Bordeaux - Paris avec une brouette pour protester contre la justice!


Jean-Louis Guimberteau va parcourir Bordeaux-Paris avec une brouette pour attirer l'attention sur une affaire d'héritage. (Photo Archives Jean-Pierre Muller)

Jean-Louis Guimberteau va parcourir Bordeaux-Paris avec une brouette pour attirer l'attention sur une affaire d'héritage. (Photo Archives Jean-Pierre Muller)



EN GREVE DE LA FAIM SUR LE TOIT DE MA MAISON A LUSSAC (33) 

LUSSAC. -- Mr Guimberteau a pris position en haut d'un toit dans la nuit de mercredi à jeudi 7 février 2007 pour que la justice soit faite! 

LUSSAC. --Depuis bientôt une semaine, Jean-Louis Guimberteau, 57 ans, a cessé de s'alimenter sur le pignon de sa maison d'enfance, un héritage dont il s'estime spolié


Jean-Louis Guimberteau est remonté sur « son » toit, comme en février 2007. Depuis bientôt une semaine, cet agent EDF en retraite, âgé de 57 ans, passe à nouveau ses jours et ses nuits sans manger, sur les tuiles mouillées par la pluie que son père avait fait poser. La maison, aujourd'hui inoccupée, est située au lieu-dit Govignère. Jean-Louis y a vécu de 1951 à 1955, avant que ses parents divorcent et qu'il ne revoie plus son géniteur pendant deux décennies. Cet héritage familial, il le réclame en vain depuis six ans à la fille de la concubine de son père, décédé en 1997. Celle-ci avait en effet acquis en viager, entre 1990 et 1993, la bâtisse et la 



LUSSAC. --Depuis mercredi, Jean-Louis Guimberteau, 57 ans, a entamé une grève de la fin sur la toiture de la maison de son enfance, dont il réclame l'héritage















Après  de multiples  actions en justice pour faire valoir ses droits, Jean-Louis  s'est vu débouté de ses demandes  et voir pire , condamné à des dommages-intérêts. 

ALORS CELA C' EST LA CERISE SUR LE GATEAU , DE VICTIME vous vous retrouvé condamné !!!!
LA JUSTICE MARCHE SUR LA TETE  !
IL N'Y  QU'AVEC LA JUSTICE FRANCAISE QUE L'ON VOIT CELA !
EN FRANCE CE SONT LES COUPABLES QUI  ONT LE STATUT DE VICTIMES !!!

Suite aux 2 ventes en viager à la dernière fille de la concubine de son père et à sa demi-soeur non reconnue,  il se  retrouve  complètement déshérité, les législateurs n'ayant rien prévu dans ce cas (réserve héréditaire comme quotité disponible). Il ne restait sur le compte de son père suite à ces 2 ventes, une propriété viticole dans le libournais de 4,5ha, une maison et une vie de travail, la somme de 14.000 francs. .Ou est la JUSTICE ?

Aucun étonnement  à ce que les Français  n'est plus aucune confiance en la justice !

Pour couronner le tout , Jean-Louis  Guimberteau s'est vu  INFLIGER  une décision de Justice pour non représentation de ses enfants à sa mère qui avait engagé une procédure contre son propre fils, qu'elle  même n'a pas  élever et encore une fois la justice fait son oeuvre  en  accordant  10000 francs de dommages -intérêts à la grand-mère  plus 1500 francs au titre de l'article 475.1 du code de procédure pénal , la grand-mère qui après avoir eu satisfaction d'avoir   une fois de plus fait du mal à son fils, n'a plus jamais pris ses petits-enfants . 
Encore une fois merci à la justice !